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Sur les dernières années, la multiplication des offres technologiques a rendu complexe l’analyse et l’objectivité de positionnement des différentes offres dans le monde de l’IT.

D’une part, une flopée d’initiatives, lancées et/ou soutenues par des géants de l’informatique, connaissent un succès grandissant, parvenant même au statut de leader du marché.

D’autre part, les volumes d’acquisition et de consolidation du marché sont intenses, et emmènent parfois à des changements de position stratégique radicaux.

La conséquence directe pour les entreprises, est une augmentation drastique du volume de technologies dites « phares » disponibles, et une difficulté réelle à lire les bénéfices et positionnements de chacune d’elles.

Face à ce constat, plusieurs réactions sont envisageables :

Le déni : Consistant en une approche de refus de la situation, et présageant que ce n’est que le début, que l’innovation lead le monde IT, que l’accélération que l’on connait n’est que l’aboutissement d’année de développement de l’informatique et que les difficultés rencontrées ne sont que le fruit de la résistance aux changements.

L’interrogation : Quel avenir présage un tel mouvement ? Doit-on basculer sur ces nouveaux paradigmes en recrutant de nouveaux profils ? Quelles charges représentent la montée en compétence de mes équipes ? Quelles pérennités sont garanties sur ces technologies ?

L’immobilisme : Ce qui est en place fonctionne, répond aux attentes minimales et sont maîtrisées. Je préfère attendre que ces sujets soient devenus des standards répondants à des cas d’usage réels dans mon contexte, pour basculer selon un arbitrage de priorités temporelles et fonctionnelles.

 

Contrairement aux analyses technophiles, ces réactions constatées quotidiennement sur le marché sont purement de l’ordre du psychologique et emmène une réflexion simple :

« Pourquoi tant de complexité et de freins à l’adoption de nouvelles technologies et fonctionnalités en BtoB, là où le BtoC explose en innovation de tout type dans la vie quotidienne avec des courbes d’adoption record ? »

 

L’analyse pragmatique (trop ?) serait d’aborder le sujet d’un point de vue utilisateur :

  • Qu’est qu’un utilisateur ? Un humain
  • Qu’est-ce qu’un humain ? Un mammifère doté d’intelligence
  • Qu’est-ce que l’intelligence ? Une réaction en chaine de connexion neuronale permettant entre autres, analyse, déduction, apprentissage, extrapolation et projection

 

Alors quelle différence d’interprétation et de ressenti entre le BtoC de notre vie quotidienne et celle du BtoB ?

 

L’accessibilité des services

L’accessibilité se caractérise de diverses façons, mais dans le cadre précis qui nous intéresse, elle gravite essentiellement autour de la simplicité d’utilisation et l’ergonomie.

La dernière innovation de capteur dans votre lave ligne est transparente pour l’utilisateur.

De même, l’utilisation d’objet connecté a pour mot d’ordre la simplicité d’utilisation, au risque si cela n’est pas le cas, de subir les foudres d’utilisateurs mécontents.

 

Côté métiers de l’IT, le constat est radicalement différent.

Il faut maîtriser en premier lieu le langage, agglomérat d’acronyme se multipliant mois après mois au fil des tendances.

Ensuite, une maîtrise permanente et le temps disponible associé de la veille technologique est indispensable, afin de maîtriser un minimum le langage de Scripting du moment, ou encore le nouveau modèle d’architecture distribuée.

« N’est-ce pas là le métier d’un informaticien ? La réponse est plus subtile… »

L’informatique n’étant fondamentalement plus au stade de nouvelle technologie, les métiers et spécialités se sont multipliés pour répondre à un ensemble de challenges grandissant.

Nous pouvons ainsi décliner des grandes familles de jobs :

  • L’informaticien « intégrateur »: Qui se caractérise souvent par une expertise sur une ou un ensemble de briques et qui réalise les missions d’intégration pour divers clients (qu’ils soient internes ou externes) ;
  • L’informaticien « métier » : Qui se caractérise par sa capacité à répondre aux besoins métiers de la société en sélectionnant et architecturant les outils informatiques correspondants ;
  • L’informaticien « de proximité » : Qui se caractérise par sa capacité à répondre aux besoins de support utilisateur immédiat, sur poste de travail notamment, mais aussi sur les couches applicatives ;
  • L’informaticien « développeur » : Qui se caractérise par son focus métier autour de la création ou l’évolution d’application sur diverses plateformes.

 

Alors quel profil est le plus exposé aux pics actuels de changement et de nouveaux paradigmes ?

Tous, mais ils n’ont pas à disposition la même complexité, accessibilité ni les mêmes outils de simplification pour y répondre.

 

Dans notre métier d’intégrateur, nous constatons souvent que l’informaticien « intégrateur » et l’informaticien « métier » sont un seul et même profil, ce qui accentue le propos qui va suivre.

 

Comment relevé le challenge de ce début de 21ème siècle riche en nouveautés IT de tout type, dans une dynamique de changement continue, en gérant à la fois la production des outils après les avoirs intégrés et les évolutions et innovations nécessaires pour les métiers ?

La réponse est terrible : On ne relève pas le challenge, on le subit, quotidiennement.

 

Le focus des informaticiens d’entreprise non spécialisé dans l’IT, ne devrait-il pas être sur les métiers ? Et si tel est le cas, comment gérer le reste ?

 

« En réponse, notre humble analyse repose sur le besoin immédiat de transformation des offres IT pour s’orienter vers plus de simplicité, d’ergonomie et focus sur la rapidité d’apprentissage pour laisser place à la créativité des informaticiens métier »

 

C’est à ce titre, que 4ANY a été bâtie. Proposer aux entreprises, une solution simple, ergonomique, personnalisable de pilotage multi-cloud pour accélérer l’adoption des services et se concentrer sur l’approche cas d’usage plutôt que l’approche purement technologique.

 

Construit sur mesure pour chaque client par des experts en intégration, 4ANY permet de bénéficier dans des temps compétitifs, de services technologiques d’actualité chez les providers cloud les plus populaires et les providers cloud plus spécialisés.